La seconde guerre mondiale constitue des ruines nouvelles, incarnées dans les corps et paradoxalement dans le vide, qui après Hiroshima, devient un espace actif, et nécessairement problématique. Les hommes et les femmes, irradiés ou déportés, sont marqués dans leur chair et par elle deviennent des traces vivantes, des indices et des témoins d’une entreprise monstrueuse. Les corps comme ruine, les traces . . . → En lire plus