Bagdad mon amour. Le « musée sans murs » irakien entre relectures du modernisme, art contemporain et archéologie

La journée d’études Bagdad mon amour s’articule sur l’exposition du même nom à l’Institut des cultures d’Islam (28 mars-5 août 2018). À ce titre, elle souhaite en prolonger l’expérience à travers la notion de « musée sans murs », ou comment valoriser les ressources liées aux tentatives de surmonter la destruction du patrimoine et les pillages de musées en Irak – systématisés depuis les années 2000, suite aux agressions et invasions de l’armée américaine et de ses alliés puis du groupe terroriste État Islamique. L’axe principal des travaux se situera sur la ligne de crête et, le cas échéant, de rupture entre gestes de préservation et gestes de réinvention, dans un dialogue entre pratique et théorie, archives et témoignages, sciences du patrimoine et art contemporain.

En partenariat avec l’Institut des cultures d’Islam

Responsable scientifique

  • Morad Montazami (Tate Modern / Globalisation, art et prospective)

Programme de recherche

Globalisation, art et prospective, sous la direction de Zahia Rahmani (domaine Histoire de l’art mondialisée)

La liste des intervenants sera communiquée ultérieurement.

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Informations pratiques

30 mai 2018 – 9h30-18h30

Galerie Colbert, salle Giorgio Vasari
Institut national d’histoire de l’art
2, rue Vivienne ou 6 rue des Petits Champs
75002 Paris

entrée libre

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