http://journals.openedition.org/estampe
Tous les numéros publiés à partir de 2010 sont disponibles en format PdF, en texte intégral avec les illustrations d’origine.
La revue existera désormais sous format électronique. Sous l’égide du Comité national de l’estampe, elle publiera, après avis du comité de rédaction, les articles rédigés en français, en anglais ou en italien. Les propositions doivent être envoyées à remi.mathis@bnf.fr
Pour les normes rédactionnelles, voir http://nouvellesdelestampe.fr/nouvelles-de-lestampe/soumettre-un-article/
Les Nouvelles de l’estampe sont une revue fondée en 1963 par Jean Adhémar, directeur du Cabinet des Estampes de la BN, et alors destinée à présenter les actualités dans le champ de l’estampe et de la gravure. Dès l’origine, son but est de traiter du champ dans son acception le plus large, de l’estampe ancienne à la création contemporaine, avec une approche d’histoire ou d’histoire de l’art, en étant ouvert à tout texte de qualité – essentiellement issu de chercheurs (universitaires, conservateurs…) mais aussi d’amateurs, marchands, artistes, etc.
La revue a ensuite évolué pour devenir une revue académique traditionnelle (articles, comptes rendus), dotée d’un comité de lecture, tout en gardant une part destinée à l’analyse de la création contemporaine, y compris à travers des approches moins universitaires (interviews…). Elle traite de l’image imprimée (bois, taille-douce, lithographie, affiches, procédés mécaniques) à la fois en tant qu’art, et que technologie capable de multiplier les images, avec toutes les conséquences culturelles et historiques que cela a pu avoir. Les actualités sont désormais abandonnées, et figurent sur les réseaux sociaux. Bien que dépendant d’une société savante (dont elle constitue l’essentiel de l’action), elle est traditionnellement liée au département des Estampes de la BnF (son rédacteur en chef a toujours été un conservateur, et son directeur celui du département jusqu’en 2007), elle s’est largement ouverte, « universitarisé » et internationalisée depuis 2010.
La revue a ensuite évolué pour devenir une revue académique traditionnelle (articles, comptes rendus), dotée d’un comité de lecture, tout en gardant une part destinée à l’analyse de la création contemporaine, y compris à travers des approches moins universitaires (interviews…). Elle traite de l’image imprimée (bois, taille-douce, lithographie, affiches, procédés mécaniques) à la fois en tant qu’art, et que technologie capable de multiplier les images, avec toutes les conséquences culturelles et historiques que cela a pu avoir. Les actualités sont désormais abandonnées, et figurent sur les réseaux sociaux. Bien que dépendant d’une société savante (dont elle constitue l’essentiel de l’action), elle est traditionnellement liée au département des Estampes de la BnF (son rédacteur en chef a toujours été un conservateur, et son directeur celui du département jusqu’en 2007), elle s’est largement ouverte, « universitarisé » et internationalisée depuis 2010.
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