La dichotomie qui caractérise la recherche en histoire de l’art dans son ensemble entre ceux qui privilégient le « capital » idéologique de l’art et ceux qui explorent son potentiel formel, n’a pas laissé indemne l’art total. Bien sûr, les deux approches peuvent se retrouver dans la généalogie esthétique de la question – le romantisme et le symbolisme notamment – ou, parfois, son apanage philosophique. Aucune de deux ne néglige non plus cette pierre angulaire qu’a été le Gesamtkunstwerk wagnérien. Sans vouloir trouver le « juste milieu » entre ces deux approches, ce colloque a plutôt l’ambition de les mettre en tension, pour montrer leurs équivalences ou, au . . . → En lire plus