A la suite des travaux de Max Dvořák sur la notion de « valeur historique » et dans la continuité des recherches de Louis Grodecki sur « les monuments dans l’histoire », il ne s’agit plus aujourd’hui d’aborder le chantier de restauration aux seules fins discriminantes de la « critique d’authenticité ». Le chantier de restauration implique en effet des questions matérielles, techniques, économiques, sociales et spirituelles qui relèvent de l’histoire, de l’archéologie, de l’anthropologie et de la sociologie.
Le fil conducteur des débats envisagés par ce colloque sera donc moins les restaurateurs célèbres ou les chantiers emblématiques que les procédés techniques et les . . . → En lire plus