Si le genre constitue une « catégorie utile d’analyse »[1] pour les sciences humaines, à l’instar de toute construction socio-culturelle, il participe également à l’élaboration et la pérennisation de certains stéréotypes. En découle, par exemple, la vision classique de l’assignation de la force et de la violence au domaine masculin, en opposition à l’image d’une féminité fragile et pacifique. Partant de la traditionnelle tension entre l’oppresseur masculin et sa victime féminine[2], cette journée d’étude sera l’occasion de tenter de dépasser cette dualité, et les stéréotypes qui en découlent, en s’intéressant à d’autres formules.
Dans d’autres disciplines, comme l’histoire et la sociologie, cette combinaison . . . → En lire plus