Colloque international : « Pontus Hulten. Retour à la source/ Pontus Hulten. Back to basics » (20-21 novembre 2025, Centre Pompidou – GrandPalaisRmn – Institut national d’histoire de l’art)

Pontus Hulten, premier directeur du Musée national d’art moderne au Centre Pompidou, devant le chantier de construction du bâtiment, [circa 1975]. Photographe : André Morain. Bibliothèque Kandinsky, Mnam-CCI, Centre Pompidou, FGP HUL 3995 (1)

Figure fondatrice et premier directeur du Musée national d’art moderne au Centre Pompidou, personnalité aux multiples facettes et aux innombrables talents, Pontus Hulten (1924-2006) est à la fois historien de l’art et artiste, mais avant tout un homme de musée d’exception. Icône du commissariat d’exposition comme espace d’inventivité et de découverte pour tous les publics, cet acteur institutionnel au parcours inclassable, non-conformiste, voire hérétique, adepte de la pluridisciplinarité et de la vision d’un musée ancré dans la vie, est remis en lumière aujourd’hui.

Célébré à l’occasion de l’exposition Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten au Grand Palais à Paris, Pontus Hulten continue d’inspirer. Ce colloque international reviendra sur son parcours à travers les témoignages de celles et ceux qui l’ont connu et ont travaillé avec lui, et grâce aux voix expertes et aux travaux récents de recherche qui réactivent aujourd’hui, à l’aune de nouvelles sources, ce formidable héritage critique pour le monde de l’art.

Founding figure and first director of the National Museum of Modern Art at the Centre Pompidou, Pontus Hulten (1924-2006) was a multifaceted personality with countless talents. He was both an art historian and an artist, but above all an exceptional museum curator. True icon of exhibition curation as a space for inventiveness and discovery for all kinds of audiences, this strong institutional figure with an unclassifiable, non-conformist, even heretical career, advocating interdisciplinarity and the vision of a museum rooted in life, is being brought back into the spotlight today.

Celebrated during the Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten exhibition at the Grand Palais in Paris, he continues to inspire. This international symposium will look back on his career through the testimonies of those who knew and worked with him, and thanks to expert voices and recent research that is now reactivating this exceptional critical legacy for the art world in light of new materials.

 

Un partenariat Centre Pompidou – GrandPalaisRmn – Institut national d’histoire de l’art

Avec le soutien de l’Institut suédois à Paris.

Organisation : Sophie Duplaix, Mica Gherghescu, Jean-Max Colard et Thomas Bertail (Centre Pompidou) Léa Hodencq (GrandPalaisRmn) Marine Acker (Institut national d’histoire de l’art)

 

PROGRAMME

JEUDI

20 novembre – Auditorium Grand Palais

11h : Mot d’ouverture : Xavier Rey, directeur du Musée national d’art moderne

11h10 : Introduction et modération de la journée par Sophie Duplaix, conservatrice en chef des Collections contemporaines, Musée national d’art moderne – Centre Pompidou

11h30 : Jean-Hubert Martin, conservateur honoraire, Musée national d’art moderne – Centre Pompidou : « Guerre froide et liberté d’expression »

12h30 : Pause déjeuner

14h : Bernadette Dufrêne, professeure des universités, Université Paris Nanterre : « L’esprit Pontus »

14h30 : Andres Pardey, conservateur, vice-directeur, Musée Tinguely, Bâle : « Pontus Hulten, archiviste. Prémices d’une recherche sur les archives Tinguely @ Pontus. »

15h : discussions

15h30 – pause-café

16h – Serge Fauchereau, historien de l’art « Pontus Hulten et l’Institut des Hautes Etudes en Arts Plastiques »

16h30 : Marie – Louise von Plessen, historienne de l’art et commissaire d’expositions : « Les croisades d’un navigateur à l’archipel des musées »

16h45 : Claes Britton, journaliste et biographe de Pontus Hulten (en anglais) : « L’après-Pontus »

17h15 : discussions

18h : projection du documentaire “Pontus Hultén : Succéerna och Brilloskandalen” d’Ann-Linn Guillou (2024, 59 min), en présence de la réalisatrice.

Une production Sveriges Television (SVT)

 

VENDREDI

21 novembre – Auditorium Jacqueline Lichtenstein, Institut national d’histoire de l’art.

Journée avec traduction simultanée

9h30 : Accueil et mot d’introduction Anne-Solène Rolland, directrice de l’Institut national d’histoire de l’art

Modération de la journée : Mica Gherghescu – conservatrice, responsable pôle recherche, Bibliothèque Kandinsky, Centre Pompidou

10h : Anna Tellgren, docteure en histoire de l’art, conservatrice, Moderna Museet (en anglais) :

« Pontus Hulten and the Moderna Museet Collection – Hope and Despair »

10h30 : Annika Öhrner, professeure, Södertörn University, Stockholm (en anglais) :

« To Kiruna and Paris. On two curatorial Initiatives of Moderna Museet, Stockholm, in the late 1960s»

11h : Andreas Gedin, artiste – chercheur, Stockholm (en anglais) : ”She, a Museum & Carnival”

11h30 – pause-café

11h45 : Pierre Ruault, doctorant et ATER, Université Rennes 2 : « La blundder- och blandar-mentaliteten : la bande à Pontus Hultén, laboratoire de l’artiste-curateur dans l’avant-garde suédoise des années 1950 »

12h15 -12h45 : discussions

12h45 – 14h : Pause déjeuner

14h15 : Nicolas Heimendinger, chercheur, Paris 8 – Université Paris Nanterre : « Un directeur étranger pour le Musée national d’art moderne : Beaubourg dans le jeu des rivalités artistiques internationales »

14h45 : Kim West, critique, chercheur indépendant et éditeur, Stockholm (en anglais) :

“Paris-Stockholm: Kulturhuset, Moderna Museet, Centre Pompidou, 1963–1977”

15h15 : Boris Hamzeian, architecte et chercheur post-doctorant en Histoire et Théories d’Architecture, MCF associé HCA-TPCAU, Université Jean Monnet Saint-Etienne, chargé de mission au Centre Pompidou : « La tomate n’envahira pas le musée ! » Pontus Hulten à la rescousse du projet architectural du Centre Pompidou

15h45 – pause-café

16h – Remi Parcollet, historien de l’art : « Pontus Hulten et la photographie »

16h30 – Stina Pariente Gromark, graphiste, artiste : « Invisible/Visible: l’univers imprimé de Pontus Hulten »

17h : discussions et clôture du colloque

 

Biographies des intervenants :

Claes Britton est auteur et directeur artistique actif en Suède et à l’international.  Pendant son enfance, Britton a visité le Moderna Museet de Stockholm pendant le mandat légendaire de Pontus Hultén, qu’il a interviewé longuement bien plus tard. Il a voyagé à travers le monde pendant 12 ans pour mener ses recherches en vue de l’établissement de la biographie monumentale de Hultén, qui s’appuie en partie sur plus de 200 entretiens réalisés dans 11 pays. Son livre célèbre et primé, la première biographie de Pontus Hultén, a été publié en suédois en 2022 (Albert Bonniers Förlag). Le livre a récemment été lancé dans sa traduction anglaise sous le titre Pontus Hultén — Commander of Modern Art (Verlag der Buchhandlung Walther und Franz König, Cologne/CCS Bard, New York, 2025).

Bernadette Dufrêne est professeure émérite à l’université Paris 8. Autrice d’une thèse « Art et médiatisation : les grandes expositions inaugurales du Centre Pompidou : Paris-New York, Paris-Berlin, Paris-Moscou », elle est spécialiste des questions de muséologie et de médiation culturelle. Elle a édité et présenté la thèse de Pontus Hulten : Vermeer et Spinoza (Paris, L’Échoppe, 2002). Elle a consacré de nombreux articles ainsi que deux ouvrages à l’histoire du Centre Pompidou: La création de Beaubourg (Grenoble, PUG, 2000, préface de Pontus Hulten) et Centre Pompidou : trente ans d’histoire (Paris, éditions du Centre Pompidou, 2007).

Après avoir enseigné la littérature américaine à l’Université de New York, puis du Texas, Serge Fauchereau a travaillé pendant une dizaine d’années au Centre Pompidou comme commissaire de grandes expositions (Paris-New York, Paris-Berlin, Paris-Moscou, Les Réalismes, etc.). Il a poursuivi cette activité à l’étranger, notamment en Italie, en Angleterre et en Allemagne, parallèlement à sa vocation d’écrivain. Il a été également professeur à l’Institut des hautes études en arts plastiques et membre de la commission artistique européenne à Bruxelles. Il a publié plus d’une vingtaine d’ouvrages dont une douzaine de monographies d’artistes, traduites pour la plupart à l’étranger : Braque, Arp, Kupka, Nils Dardel, Philippe Soupault voyageur magnétique, Rancillac, Malevitch, ainsi que Moscou 1900-1930, Peintures et dessins d’écrivains. Parmi ses ouvrages récents, L’Art moderne des pays scandinaves : Danemark, Finlande, Islande, Norvège, Suède (Flammarion, 2025)

Andreas Gedin, Docteur, artiste – chercheur, auteur de « Pontus Hultén, Hon och Moderna » Langenskiölds, 2016  (traduction en anglais, Pontus Hultén, « She a Cathedral & Moderna Museet », Koenig 2020).

Boris Hamzeian (PhD École Polytechnique Fédérale-EPFL, 2021) est architecte, historien de l’architecture MCF associé HCA-TPCAU, Université Jean Monnet Saint-Etienne, chargé de mission au Centre Pompidou. Dans le cadre de recherches consacrées à l’avant-garde de l’après-guerre et à l’architecture techno-morphique, il a publié des articles sur le Centre national d’art et de culture Georges Pompidou à Paris (sujet de sa thèse), le groupe UFO et les œuvres de OMA et Aldo Rossi. Il est membre du comité scientifique du magazine Archphoto 2.0, membre de la Construction History Society et cofondateur de False Mirror Office. En 2022, il a publié deux monographies chez Actar Publishers, Unidentifying Flying Objects for Contemporary Architecture : UFO Experiments between Political Militancy and Artistic Avant-Garde, (édité avec Beatrice Lampariello et Andrea Anselmo) et Live Centre of Information. De Pompidou à Beaubourg, 1968-1971. Son dernier ouvrage Centre Pompidou. Le défi du total Design : Histoire des composantes d’une architecture technomorphe vient de paraître aux Presses universitaires de Saint-Étienne.

Nicolas Heimendinger est docteur en histoire et théorie de l’art de l’Université Paris 8. Actuellement chercheur postdoctoral à l’Université Paris Nanterre, il sera en 2026 chercheur associé à la Smithsonian Institution, auprès des Archives of American Art. Ses recherches portent sur les rapports entre arts et politique, l’histoire des institutions de l’art contemporain, les transformations du marché de l’art et l’évolution des goûts artistiques depuis 1945. Il a publié en octobre 2025 chez CNRS Éditions « L’État contre la norme : institutions publiques et art d’avant-garde (France, États-Unis, Allemagne). »

Jean-Hubert-Martin est commissaire indépendant après avoir été conservateur général du patrimoine. Ancien directeur de la Kunsthalle de Berne, du Musée national d’art moderne, où il a été commissaire général de l’exposition « Magiciens de la terre » en 1989, du Château d’Oiron, du Musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie, du museum kunst palast de Düsseldorf et de FRAME France, il a été commissaire de nombreuses expositions, dont la 5e Biennale de Lyon « Partage d’exotismes » en 2000, « Altäre – Kunst zum Niederknien » (« Autels – l’art de s’agenouiller ») à Düsseldorf en 2001, « Africa Remix » à Düsseldorf en 2005, « Une image peut en cacher une autre » au Grand Palais en 2009, « Dali » au Centre Pompidou en 2013 et « Le Théâtre du monde » à la Maison Rouge en 2013. Un certain nombre de ses textes sont rassemblés dans L’Art au Large, 2012, Flammarion.

Annika Öhrner, commissaire d’exposition et professeure d’histoire de l’art, Södertörn University, Stockholm. Parmi ses publications récentes : « Un jeu collectif. Amour et partage du travail dans les années 1960. D’après une série d’entretiens avec Anna-Lena Wibom » in S. Duplaix (Ed.), Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten. Paris: Éditions du Centre Pompidou, 2025; “Warhol in translation, Stockholm 1968: ‘many works and few motifs’”. Journal of Art Historiography (26) 2022; “Exhibiting Contemporary Art in the Early 1990s Nordic–Baltic Realm”. Artl@s Bulletin,11(2), 2022.

Remi Parcollet est docteur en histoire de l’art (Sorbonne Université). Il travaille sur l’histoire des expositions, à partir d’approches contemporaines des archives visuelles, du patrimoine et des humanités numériques, du traitement des images dans l’histoire des musées et des témoignages visuels dans le champ artistique et culturel.

Andres Pardey a étudié l’histoire de l’art, l’histoire et l’archéologie à Bâle, a rédigé sa thèse sur la narration dans l’œuvre de Hans Holbein le Jeune et a travaillé au Musée Tinguely depuis 1995, d’abord comme assistant, puis comme directeur adjoint. Outre ses fonctions administratives et sa responsabilité de la collection, il a participé à divers titres à l’organisation de nombreuses expositions au Musée Tinguely, notamment Panamarenko (2000), Daniel Spoerri (2001), Niki de Saint Phalle (2001), Marcel Duchamp (2002), Jean le Jeune (2002), Bernhard Luginbühl (2003), Three Islands : Richard Stankiewicz, June Leaf, Robert Lax (2004), Eva Aeppli (2006), Niki & Jean, L’Art et L’Amour (2006), Alfred Hofkunst (2007), p.s. Pavel Schmidt (2008), Armure & Robe de soirée (2009), Robert Breer (2011), Krištof Kintera (2014), Ben Vautier (2015), Michael Landy (2016), Wim Delvoye (2017), Radiophonic Spaces (2018), Len Lye (2019), l’Impasse Ronsin (2020), Jean-Jacques Lebel (2022), et sur Roger Ballen (2023), Fresh Window (2024) et Carl Cheng (2025). Il a récemment publié le livre L’univers Tinguely. 15 dimensions dans l’œuvre de Jean Tinguely, Kehrer Verlag, Heidelberg, 2025.

Stina Pariente Gromark est une graphiste, enseignante et curatrice basée à Paris dont le travail explore l’intersection du design, de l’édition et de la culture visuelle. Elle est la fondatrice de Stinsensqueeze et de la maison d’édition indépendante OUT SIDE IN, née de sa recherche de dix ans sur l’héritage imprimé de Pontus Hultén. Cette recherche a abouti au livre et à l’exposition Keep Smiling! L’univers Imprimé de Pontus Hultén (Institut Suédois, Paris, 2025). Elle enseigne à l’Atelier de Sèvres et à la HEAD – Genève, avec une pratique centrée sur la forme éditoriale, l’exploration matérielle et une pensée écologique du design.

Pierre Ruault. Sous la direction d’Antje Kramer-Mallordy, Pierre Ruault prépare à l’Université Rennes 2 un doctorat en histoire de l’art, consacré aux dynamiques transnationales entre les avant-gardes françaises et suédoises entre 1945 et 1968. Ses travaux analysent l’émergence d’une « troisième voie », pensée comme alternative aux modèles politiques et esthétiques dominants de l’après-guerre. Actuellement ATER au département d’histoire de l’art de l’Université Rennes 2, il accompagne l’encadrement du master Métiers et arts de l’exposition et enseigne l’histoire de l’art contemporain. Membre de l’AICA, il mène parallèlement des activités de critique d’art et de commissariat d’exposition

Anna Tellgren. Docteure, conservatrice pour la photographie et responsable du département de la recherche au Moderna Museet de Stockholm. Elle a organisé de nombreuses expositions, dont Francesca Woodman. On Being an Angel (2015), qui a fait l’objet d’une tournée internationale pendant plusieurs années. Auparavant, elle a travaillé comme chercheuse et chargée de cours au département d’histoire de l’art de l’université de Stockholm. Elle a été rédactrice en chef de The History Book. On Moderna Museet 1958–2008 (2008) et de deux ouvrages sur Pontus Hultén et le Moderna Museet, publiés en 2017 et 2023. Parmi ses publications les plus récentes, on peut citer ses contributions à Une histoire mondiale des femmes photographes (2020) et au livre Deborah Turbeville Photocollage, publié par Thames & Hudson en 2023. Anna Tellgren est membre du conseil d’administration de Konsthistorisk tidskrift/Journal of Art History.

Dr. Marie – Louise von Plessen. Historienne de l’art ; commissaire internationale d’expositions (histoire, muséologie, art contemporain). Etudes en histoire et sociologie à l’université de Munich. 1974 Promotion Dr. phil., faculté d’histoire et des arts, Ludwig-Maximilians-Universität de Munich. Commissariat d’exposition et publications (sélection) : 1977, Le Musée Sentimental (prototype conçu avec Daniel Spoerri) installé au Crocrodrome de Zig&Puce de Jean Tinguely et Bernhard Luginbühl pour l’inauguration du Centre Pompidou, Paris ; 1979 Le Musée Sentimental de Cologne au Kölnischer Kunstverein (avec Daniel Spoerri) ;

1981 Le Musée Sentimental de Prusse au Musée de Berlin (avec Daniel Spoerri) ; 2000-2003 ‘L’Idée d’Europe : L’Etablissement d’une paix éternelle’ sous les auspices de la Commission Européenne et du Conseil de l’Europe; 2008-2010 ‘Prince Eugène de Savoye : Général philosophe et amateur de l’Art au Belvédère – Musée d’Art autrichien à Vienne ; 2011, The Victoria&Albert Museum : Art and Design for All. Foundation and legacy of the V&A from 1837 to 1909, au Centre d’Art et d’Exposition de la RFA à Bonn (avec Julius Bryant, Victoria&Albert Museum, Londres).

Kim West est critique, chercheur et éditeur basé à Stockholm. Ses recherches portent sur le développement contemporain de la pensée esthétique critique, l’histoire culturelle des avant-gardes populaires et les transformations institutionnelles et techniques des formes de médiation artistique. Il est actuellement maître de conférences au REMESO, l’Institut de recherche sur les migrations, l’ethnicité et la société de l’université de Linköping, en Suède. Il a précédemment dirigé le projet de recherche « Autonomy, culture, action : On Culture’s Spheres of Political Action in the Neoliberal Welfare State » à l’université Södertörn de Stockholm. De 2017 à 2019, il a été professeur invité en théorie de l’art à l’Institut royal d’art de Stockholm. Il est l’initiateur et le coordinateur de l’Institut indépendant d’études avancées en esthétique politique de Stockholm, et l’un des fondateurs de la maison d’édition 1|21 Press. Parmi ses publications récentes et à venir, citons The Autonomy of Art is Ordinary (Sternberg, 2024) et Theory of the Popular Avant-Garde (Glänta Produktion, 2025).

 

Informations pratiques :

Entrée libre sur réservation conseillée.

Auditorium Grand Palais :

Accès : 1 avenue Winston Churchill, 75008 – Entrée Rotonde Clarence Dillon – plan ci-joint

Réservation : https://bk.reservio.com/events/0eef01f1-71be-472f-90ca-0f40bc62e537/

 

Auditorium Jacqueline Lichtenstein

Accès : INHA – Galerie Colbert, auditorium Jacqueline Lichtenstein 2, rue Vivienne – 75002 Paris.

Réservation : https://bk.reservio.com/events/86efc4c1-620e-44ff-9009-03237a648601/

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