Parution : Questions d’ornements. XVe-XVIIIe s.

Ralph Dekoninck, Caroline Heering et Michel Lefftz (éd.), Questions d’ornements. XVe-XVIIIe s., Turnhout, Brepols (Théorie de l’art), 2013.

Après avoir longtemps été mise à la marge des études en histoire de l’art, la question de l’ornement fait aujourd’hui l’objet d’un regain d’intérêt considérable et de profonds renouvellements théoriques et méthodologiques. S’inscrivant dans un champ de recherche en plein (re)développement, le propos de cet ouvrage est de questionner la nature, les fonctions et les usages de l’ornement à un moment particulier de son histoire : les Temps Modernes. Comment l’ornement a-t-il pu être compris, exploité, légitimé, canalisé par un discours qui s’est cristallisé autour des genres et de leur hiérarchie ? Face à ce discours, comment l’ornement a-t-il pu réellement faire sens dans l’histoire des arts et comment l’histoire de l’art . . . → En lire plus

Journées d’études : Jeux et enjeux du cadre dans les systèmes décoratifs à l’époque moderne (Paris, 9-10 mai 2014)

Journées d’études internationales organisées par l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, l’Université Bordeaux Montaigne et l’Université catholique de Louvain

Institut national d’histoire de l’art, Paris

9 – 10 mai 2014

Pouvant être considérés comme de véritables systèmes, les décors modernes s’imposent comme un phénomène propre de la pratique artistique, qu’il convient d’étudier comme tel. Le décor atteint en effet entre les XVe et XVIIIe siècles un degré d’élaboration et de complexité tout particulier, multipliant les dispositifs de présentation du discours visuel tout en intégrant les contraintes spatiales imposées par ses supports. Ces journées d’études entendent appréhender l’originalité de ce phénomène à travers la question du cadre. Souvent laissé à la marge des études sur le décor, le cadre en constitue pourtant l’une des dimensions essentielles, qui en conditionne non seulement les modes . . . → En lire plus

Appel à communication : « Jeux et enjeux du cadre dans les systèmes décoratifs à l’époque moderne » (Paris, 9-10 mai 2014)

Journées d’études internationales des 9 et 10 mai 2014 à l’Institut national d’histoire de l’art à Paris, organisées par le CHAR (HICSA, Université Paris 1 Panthéon – Sorbonne), le Centre François-Georges Pariset (Université Michel de Montaigne – Bordeaux 3) et le GEMCA (Université catholique de Louvain)

Pouvant être considérés comme de véritables systèmes, les décors modernes s’imposent comme un phénomène propre de la pratique artistique, qu’il convient d’étudier comme tel. Le décor atteint en effet entre les XVe et XVIIIe siècles un degré d’élaboration et de complexité tout particulier, multipliant les dispositifs de présentation du discours visuel tout en intégrant les contraintes spatiales imposées par . . . → En lire plus

Appel à communication : « Métamorphose spectaculaire et anamorphose culturelle. Les (en)jeux de l’ornement dans les festivités éphémères au premier âge moderne »

Colloque international, 13-14 décembre 2013

Academia Belgica, Rome

Qu’elle célèbre un événement politique ou religieux, la fête constitue un moment clef de la vie publique dans la société par et pour laquelle elle est produite. Fusionnant toutes les formes d’expression artistique afin de créer une expérience multi-sensorielle et de contribuer à la définition d’un espace-temps singulier, le spectacle constitue en effet un lieu privilégié pour appréhender la culture dont il émane et dont il met en exergue, voire parfois forge et transforme, les représentations et les imaginaires.

La plupart des études consacrées aux festivités modernes se sont jusqu’ici surtout attachées à définir le message politique et/ou religieux . . . → En lire plus

Appel à communication : « Questions d’ornements (XVe-XVIIIe). 3. Arts du relief »

Colloque international

Séminaire d’histoire de l’art de l’IRPA n° 13

Institut royal du patrimoine artistique, Bruxelles

L’étude de l’ornement connaît depuis une quinzaine d’années un regain d’intérêt manifeste. Loin de se limiter à un répertoire de motifs susceptibles d’alimenter une grammaire des styles, l’ornement est aujourd’hui envisagé comme un phénomène étonnamment complexe dont la définition mouvante, presque insaisissable, est un reflet de sa nature multiple. À côté de ses qualités esthétiques lui sont désormais reconnus des enjeux et des fonctions d’ordre symbolique, anthropologique, politique, socio-économique, etc. Par ailleurs, traversant tous les genres artistiques selon des modalités et des degrés très divers, l’ornement ne peut se réduire à une catégorie artistique bien définie. Cette transversalité, de même que la dépendance caractéristique qui le soude aux autres catégories esthétiques, lui valut longtemps . . . → En lire plus