Journée d’étude : « Une rhétorique de l’histoire de l’art ? Pratiques et dispositifs de l’écriture » (Bordeaux, 20 novembre 2015)

rhetorique-HA-150x150Comme toute discipline, l’histoire de l’art communique au travers de formes discursives normalisées. La littérature grise dont les articles et les thèses, les catalogues d’exposition, les essais ou bien encore les ouvrages de vulgarisation scientifique sont censés répondre à des critères de narration implicites (énonciation impersonnelle, emploi du conditionnel, vocabulaire spécialisé…) qui légitiment d’autant mieux l’argumentation de leurs auteurs. Dans sa pratique dite académique, l’écriture apparaît à bien des égards comme le point nodal entre la synthèse des recherches et la diffusion des connaissances. Ainsi, en organisant cette journée d’étude, nous invitons les historiens de l’art à s’interroger sur la nature et la qualité des principes langagiers de leurs propres discours, héritiers d’une discipline qui, en Europe, s’est imposée au . . . → En lire plus

Appel à communication : « Une rhétorique de l’histoire de l’art? Pratiques et dispositifs de l’écriture »

Image1Comme toute discipline, l’histoire de l’art communique au travers de formes discursives normalisées. La littérature grise dont les articles et les thèses, les catalogues d’exposition, les essais ou bien encore les ouvrages de vulgarisation scientifique sont censés répondre à des critères de narration implicites (énonciation impersonnelle, emploi du conditionnel, vocabulaire spécialisé…) qui légitiment d’autant mieux l’argumentation de leurs auteurs. Dans sa pratique dite académique, l’écriture apparaît à bien des égards comme le point nodal entre la synthèse des recherches et la diffusion des connaissances. Ainsi, en organisant cette journée d’étude, nous invitons les historiens de l’art à s’interroger sur la nature et la qualité des principes . . . → En lire plus

Appel à publication pour la revue Essais, revue interdisciplinaire d’Humanités : « Erreur et création »

Capture d’écran 2014-08-25 à 10.40.54Procédant d’un écart entre l’imagination et sa matérialisation, l’erreur ponctue les chemins de la création. L’artiste, quel que soit son domaine d’expression, tâtonne, se reprend, fait retour, jusqu’à l’accomplissement de l’idée dans l’œuvre. Du latin « errare » (errer), l’erreur est signifiante : quelle soit dissimulée ou assumée, elle mémorise l’errance du créateur. Comment donc envisager l’erreur dans un cadre théorique interdisciplinaire portant à l’analyse de la notion de création ? C’est à cette problématique que la revue Essais, publiée par l’école doctorale Montaigne-Humanités (Université Bordeaux Montaigne), désire consacrer un numéro hors-série.

Ce numéro de la revue Essais a pour ambition d’engager une réflexion sur le rapport dialectique . . . → En lire plus