Cette journée de l’école doctorale d’histoire de l’université Paris 1 donne la parole à des doctorants qui ont constitué, dans le cadre de leur thèse, une base de données. Il s’agit ici de s’intéresser aux structures réalisées, aux protocoles suivis, mais aussi à la démarche méthodologique adoptée en examinant les routes empruntées, les détours contraints ou choisis.
Intervenants :
Florence Bertholet (Lausanne), Épigraphie et archéologie en territoire helvète à l’époque romaine : apports et limites d’une base de données
Charlie Chagny (Paris 1) , Étudier la circulation des richesses au moyen âge : le péage et l’ordinateur
Cédric David (Université Paris Ouest Nanterre), Le logement social des immigrants à Saint-Denis : apports heuristiques de la construction d’une base de données de dossiers de locataires
Octave Julien (Paris 1), Construire une base de données pour déconstruire des recueils médiévaux
Claire Priol, Les différents visages de l’incunable parisien
Olivier Mery, Passer du notariat médiéval aux bases de données : les difficultés de la gestion d’informations hétérogènes
Anne Tournieroux (Paris 1), Quelques réflexions concernant l’étude comparative de bibliothèques privées françaises et italiennes de la fin du Moyen Âge (XVe- début XVIe siècle)
La journée d’étude, organisée par Benjamin Deruelle et Stéphane Lamassé, se déroulera de 9h à 14h30.
Informations complémentaires et programme détaillé
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