Publication numérique – « L’Image railleuse » sous la direction de Laurent Baridon, Frédérique Desbuissons et Dominic Hardy

Kent Monkman, Trappeurs d’hommes, 2006, acrylique sur toile, 262 x 415 cm, Montréal, musée des Beaux-Arts de Montréal.

 

Disponible via OpenEdition Journals : https://journals.openedition.org/inha/7923

Cette publication regroupe les actes du colloque qui s’est tenu du 25 au 27 juin 2015 à l’Institut national d’histoire de l’art, à Paris, organisé par l’Institut national d’histoire de l’art, l’université du Québec à Montréal et le LARHRA-UMR 5190 du CNRS, avec le soutien de l’Agence universitaire de la Francophonie et le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada.

 

Appel à communication : « Rowlandson et après : repenser la satire graphique / Rowlandson and After: Rethinking Graphic Satire » (Londres, janvier 2016)

Thomas Rowlandson, A York address to the Whale, 5 Apr 1809. Hand-coloured etchingLes estampes, dessins et aquarelles de Thomas Rowlandson (1756-1827), présentés dans l’exposition à venir High Spirits: The Comic Art of Thomas Rowlandson à la Queen’s Gallery au Palais de Buckingham, ont longtemps été reconnus comme un mélange remarquable d’invention satirique et de virtuosité artistique. La journée d’étude, co-organisée par la Royal Collection Trust et le Centre Paul Mellon de recherches en art britannique, prend l’oeuvre de Rowlandson comme point de départ pour examiner plus largement la satire britannique — dans les dessins, la gravure, ou les oeuvres sur papier — depuis les dernières années du XVIIIe siècle . . . → En lire plus

Appel à communication : “Satirical Images: Between Sociability, Animosity, and Entertainment” (Pittsburgh, 31 mars-3 avril 2016)

Caricature anonyme d'un religieuxThe use of graphic satire proliferated in the eighteenth century, from the caricature and portrait charges of the Grand Tour (Pier Leoni Ghezzi, Thomas Patch, François-André Vincent), to political caricature on the continent and in England, to the verbal-visual puns of broadside imagery and street cries series, to the complex allegories that criticized and supported the French Revolution. These different genres of graphic satire are difficult to reconcile because they vary widely in tone: some are oppositional, others are sociable, and others still seemed destined primarily for entertainment.

Scholarship on eighteenth-century graphic satire has privileged oppositional and political imagery, neglecting the prolific sociable, amusing, and cultural caricatures whose . . . → En lire plus