Appel à communication : « Médium plastique, milieu scénique : transferts des théories et pratiques entre les arts visuels et spectaculaires (1860-1940) » (Paris, 7 avril 2022)

Dans la lignée du rêve wagnérien de la Gesamtkunstwerk, la scène fut à l’époque moderne l’espace par excellence du dialogue entre les arts plastiques et vivants. Par l’analyse des travaux et théories des figures clés de la modernité théâtrale (A. Appia, E. G. Craig et V. Meyerhold), des réalisations de Kandinsky, Schönberg ou encore, en aval chronologique, celles menées au Bauhaus, les histoires du théâtre et de l’art ont montré combien la modernité scénique inaugure une tradition de l’intermédialité.

Les récents travaux dans le champ des études de médias ont par ailleurs rappelé, à rebours de l’appréhension technique et matérialiste du terme, l’étymologie . . . → En lire plus

Colloque : « Hans Hartung et l’abstraction. Réalité autre, mais réalité quand même » (Paris, 12-13 janvier 2016)

h-hartung-pgmeHans Hartung et l’abstraction « Réalité autre, mais réalité quand même »

Colloque international

C’est en 1949, quatre ans après la fin de la guerre, que le neurologue et collectionneur d’art de Stuttgart Ottomar Domnick publie la première monographie (en trois langues) sur Hans Hartung (1904–1989), peintre et graveur jusque-là méconnu. Toutefois, dans sa contribution à ce même ouvrage, Madeleine Rousseau le caractérise déjà comme une figure déterminante pour l’histoire de l’abstraction, estimant qu’il a « inventé une nouvelle langue » forgée « par l’expérience de la réalité présente ». Que l’on pense à sa participation aux trois premières documenta ou au Grand Prix de peinture à la . . . → En lire plus

Appel à communication : « Réalité autre, mais réalité quand même. Hans Hartung et l’abstraction » (Paris,12-13 janvier 2017)

2361C’est en 1949, quatre ans après la fin de la guerre, que le neurologue et collectionneur d’art de Stuttgart Ottomar Domnick publie la première monographie (en trois langues) sur Hans Hartung (1904-1989), peintre et graveur encore très méconnu jusqu’alors. Toutefois, dans sa contribution à ce même ouvrage, Madeleine Rousseau perçoit déjà en lui une figure de l’histoire de l’abstraction, estimant qu’il a « inventé une nouvelle langue » forgée « par l’expérience de la réalité présente ». Et de fait, Hans Hartung prend une place significative dans l’histoire de l’art européenne à partir de 1945 : à travers, notamment, sa participation aux trois premières expositions de la Documenta et son Grand Prix de peinture à la Biennale de Venise en . . . → En lire plus

Appel à communication : « Histoires de l’abstraction : Hans Hartung » (Antibes, 26-28 mai 2016)

Portrait de Hans Hartung La Fondation Hartung-Bergman à Antibes (France) lance un appel à candidature qui s’adresse aux jeunes chercheurs et chercheuses : doctorant-e-s et post-doctorant-e-s mais aussi, le cas échéant, étudiant-e-s en dernière année de Master ou post-Master pour un séminaire de printemps.

Cet appel s’adresse en priorité à tout chercheur/chercheuse développant une étude sur Hans Hartung et son œuvre mais aussi à tout chercheur s’intéressant de manière indirecte à Hans Hartung : présence dans un corpus de recherche plus large, comparaisons, parallèles et relations avec d’autres artistes (par ex. Wols, Soulages, de Staël, Ernst, Arp, Calder, Rothko) ou figures du monde de l’art (par ex. critiques, marchands, collectionneurs).

Il s’adresse . . . → En lire plus

Appel à communication : « Abstraction and Anthropomorphism in Postwar and Contemporary Sculpture » (Chicago, 12-15 février 2014)

This panel explores the persistence of the body in abstract sculpture, whether as compositional allusion, as the phenomenological viewer, or as the indexical trace or actual presence of the artist. It also considers the ongoing revaluation of figuration and anthropomorphism in the discourse surrounding sculpture since the postwar period. Compelled by a surge in contemporary sculptural work that engages these issues, we wish to ask questions such as: Has the figural been subsumed by or instead sublimated into emphases on materiality and process ? Is there room for a sculptural « body » within current discussions of objecthood . . . → En lire plus