Colloque international : « L’envers du décor ? Représentations de la pauvreté en Europe à l’époque moderne » (Université de Lausanne, 12-13 septembre 2019)

Colloque international : « L’envers du décor ? Représentations de la pauvreté en Europe à l’époque moderne » (Université de Lausanne, 12-13 septembre 2019)

 

Université de Lausanne, Anthropole, salle 5060

Organisation et direction : Cyril Lécosse, avec la collaboration d’Angela Benza et de Camille Huygen

Programme :

Jeudi 12 septembre

9h00 Accueil et introduction générale : Cyril Lécosse (Université de Lausanne)

Session 1. Faire œuvre de charité

Modération : Michele Tomasi (Université de Lausanne)

9h30 Eliana Magnani (CNRS-Paris, Laboratoire de Médiévistique Occidentale)

Le pauvre et ses doubles au Moyen Âge ou la transfiguration de la domination sociale

10h00 Barbara Franze (Université de Lausanne)

Donner aux pauvres . . . → En lire plus

Appel à communication : « Re-fashioning The Self ? Théories, histoire(s) et pratiques de la « fabrication du soi » dans les arts (XVe-XIXe siècles) » (Université de Lausanne, 23-24 mai 2019)

Appel à communication : « Re-fashioning The Self ? Théories, histoire(s) et pratiques de la « fabrication du soi » dans les arts (XVe-XIXe siècles) » (Université de Lausanne, 23-24 mai 2019)

L’ambition de cette journée d’étude doctorale est de questionner la notion de self-fashioning – telle que formulée dans les écrits de Stephen Greenblatt (Renaissance Self-Fashioning: From More to Shakespeare, 1980) et les théories qui en découlent – et son application aux arts figuratifs à la période moderne. Nous souhaitons ainsi interroger, au travers de lectures mais aussi d’exemples pratiques et de cas d’étude, la portée et l’applicabilité de ce concept littéraire à l’analyse de la production artistique. Dans le cas où le modèle est le sujet de la . . . → En lire plus

Société d’Etude du XVIIe siècle : Aide au financement des journées d’études pour jeunes docteurs non statutaires

Société d’Etude du XVIIe siècle : Aide au financement des journées d’études pour jeunes docteurs non statutaires

La Société d’Etude du XVIIe siècle accorde une aide, deux fois par an, à des journées d’étude organisées par de jeunes docteurs ne bénéficiant pas d’une position statutaire dans un établissement de recherche ou d’enseignement supérieur.

Elle étudie tout projet scientifique argumenté, centré sur le XVIIe siècle (toutes disciplines confondues).

Les candidats à cette aide devront fournir un argumentaire détaillé et un programme prévisionnel. La somme allouée ne pourra pas excéder 800 €.

Les candidatures sont à adresser au président de la Société, M. Jean-Robert Armogathe, à l’adresse suivante : armogathe@wanadoo.fr.

Prochain délai d’envoi : 15 mai 2019

www.17esiecle.fr

Société d’étude du XVIIe – Aide à l’édition des thèses et HDR

La Société d’Etude du XVIIe siècle réserve, chaque année, une somme d’un montant maximum de 1500 euros pour aider, sans exclusive de discipline, à la publication d’un ou plusieurs ouvrages issu(s) d’une thèse de doctorat ou d’une Habiliation à diriger des recherches traitant du XVIIe siècle.

Les candidats à l’aide à l’édition 2019 (thèse ou HDR soutenue au cours de l’année 2018) peuvent adresser leur thèse en format pdf par courriel au Président de la Société d’Etude du XVIIe siècle : armogathe@wanadoo.fr

La demande doit être assortie du rapport de thèse ainsi que de l’accord (et si possible du devis) de la maison d’édition.

Délai d’envoi : 30 juin 2019

www.17esiecle.fr

Société d’étude du XVIIe siècle – Aide à l’édition

Un programme d’aide à l’édition vient d’être créé par la Société d’étude du XVIIe siècle.

Il concerne des ouvrages de toute discipline, en langue française, portant sur la période 1580-1720. Une préférence sera accordée aux ouvrages en nom propre. L’aide, d’un montant maximal de 2000 Euros par titre, pourra être attribuée à deux ouvrages par année.

Ces ouvrages doivent avoir été acceptés par une maison d’édition, dont le devis sera joint à la demande.

Ils seront soumis en format PDF et adressés par voie électronique au président de la Société, M. Jean-Robert Armogathe : armogathe@wanadoo.fr

Les ouvrages devront obligatoirement être anonymisés par l’auteur, de manière à ce que . . . → En lire plus

Société d’étude du XVIIe siècle – Prix XVIIe siècle

Depuis 1984, la Société d’Etude du XVIIe siècle décerne, chaque année, un Prix XVIIe siècle assorti d’une somme de 2000 euros. Ayant pour but d’encourager la diffusion d’un savoir rigoureux auprès du plus large public, ce Prix récompense, sans exclusive de discipline, un ouvrage traitant du XVIIe siècle, paru l’année précédente.

Les auteurs dont l’ouvrage est paru durant l’année 2018 peuvent candidater en adressant leur livre, en double exemplaire, au Président de la Société d’Etude du XVIIe siècle, à l’adresse suivante :

J.-R. Armogathe Cassiciacum 28 rue du Filoir 45 130 Meung-sur-Loire

Les ouvrages ne seront pas retournés.

Le jury est constitué comme suit : Jean-Robert Armogathe, Carine Barbafieri, . . . → En lire plus

Appel à communication : « L’envers du décor ? Représentations de la pauvreté en Europe à l’époque moderne » (Lausanne, 12-13 septembre 2019)

Appel à communication : « L’envers du décor ? Représentations de la pauvreté en Europe à l’époque moderne » (Lausanne, 12-13 septembre 2019)

Depuis les années 1970, l’histoire de la pauvreté à l’époque moderne a suscité un certain nombre de travaux, ceux notamment des historiens Jean-Pierre Gutton, Arlette Farge, Olwen H. Hufton, Jacques Carré et Andrew Cunningham. Plusieurs études ont été publiées qui analysent le phénomène de la mendicité dans les villes, le vagabondage dans les campagnes, les petits métiers, la criminalité, les politiques caritatives sinon répressives menés par l’église et l’état. Ces recherches pluridisciplinaires ont amplement contribué à faire du thème de . . . → En lire plus

Journée d’étude : « Les relations artistiques à l’époque moderne » (Lausanne, 12 novembre 2015)

Gillray_-_The_First_Kiss-108x150La première partie de cette journée d’étude portera sur les relations artistiques entre la France et l’Angleterre à la période moderne. Il s’agira de s’interroger autant sur les enjeux de ces échanges que sur leurs formes et leurs principaux acteurs. Dans cette perspective, il apparait essentiel de caractériser le type d’échanges en vigueur pouvant notamment procéder de la rivalité, de l’émulation, de l’imitation ou encore du pastiche. De même, il semble nécessaire d’identifier les différentes dynamiques dans lesquelles ces relations ont pu s’inscrire : transfert, transposition, adaptation ou appropriation, etc. Enfin, la question de la circulation des modèles et des « acteurs » (réseaux d’artistes, marchands, clientélisme, collectionnisme etc.) se trouve elle-aussi au centre des considérations sur les relations artistiques . . . → En lire plus

Appel à communication : « Art et libéralisme en France (1814-1830) : la contestation par l’image » (Lausanne, 17-18 mars 2016)

Jean-Baptiste Isabey, Caricature politique : un renard conduisant Louis XVIII avec un mors, c. 1815, LouvreDepuis une vingtaine d’années, l’histoire de l’iconographie politique sous la Restauration a suscité un certain nombre de travaux. Plusieurs études consacrées à des artistes de premier plan (Th. Géricault, H. Vernet, J.-B. Isabey, N.-T. Charlet, A. Scheffer…) ont notamment permis de préciser les cadres d’élaboration, de diffusion et de réception d’œuvres élaborées dans les cercles de l’opposition libérale (bonapartistes, républicains, charbonniers, anticléricaux) et considérées comme potentiellement subversives par les monarchistes. Durant cette période, l’estampe et les œuvres séditieuses font en effet partie intégrante de la stratégie d’opposition, au même titre que les luttes . . . → En lire plus

Appel à communication : « L’art de la distinction : uniforme et identité dans le portrait du XVe au XXe siècle », session pour le 3e Congrès suisse d’histoire de l’art (Bâle, juin 2016)

Du XVe au XXe siècle, les portraits en uniforme répondent, pour la plupart, à la nécessité d’exprimer visuellement la dignité d’une fonction mais aussi un état par le biais d’un habit règlementaire. Cette réduction d’une identité qui se construirait exclusivement sur des codes vestimentaires montre aussi combien, s’il est facteur de distinction, l’uniforme permet également d’aplanir les différences, d’uniformiser jusqu’à courir le risque de l’anonymat. Au-delà de cette standardisation de l’identité par l’apparence, se faire représenter en uniforme peut aussi être, dans le contexte des crises et des révolutions, un acte de contestation politique. Utilisé de façon anachronique, incongrue ou présenté sous une forme incomplète – . . . → En lire plus

Journée d’étude : « L’art du portrait en France de 1760 à 1840 : stratégies commerciales et modèles économiques »

Journée d’étude organisée par Cyril Lécosse (Docteur en Histoire de l’art contemporain, Lyon 2 – LARHRA) et Philippe Bordes (Professeur d’histoire de l’art moderne, Lyon 2 – LARHRA)

Résumé

L’objet de cette journée d’étude organisée dans le cadre des activités de recherche du LARHRA (Laboratoire de Recherche Historique Rhône-Alpes) est de permettre une meilleure appréhension des conditions économiques et sociales qui sous-tendent la production des portraits peints et sculptés dans un arc chronologique compris entre 1760 et la Monarchie de juillet. Une attention toute particulière sera portée à des formes de portraits relativement négligées des spécialistes mais qui témoignent d’une évolution notable des pratiques et du goût des contemporains (médaillons, . . . → En lire plus