Workshop : « Téléplaste » avec Tony Oursler (Paris, 22 janvier 2019)

L’Institut National d’Histoire de l’Art,

Fleur Hopkins (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne/BnF),

Pierre-Jacques Pernuit (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne),

Alessandra Ronetti (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne/École normale supérieure de Pise)

ont le plaisir de vous convier le 22 janvier 2019 de 14H à 19H à un workshop en présence de l’artiste Tony Oursler

Lors de cet événement qui marque le point d’orgue du projet INHAlab2018 « Médias imaginaires », l’artiste américain Tony Oursler, figure essentielle de l’art vidéo qui réfléchit depuis plusieurs années maintenant aux médias invasifs, anticipatifs et prophétiques (The Influence Machine, 2016), s’intéressera à un curieux brevet d’Antoine Cros, du nom de « Téléplaste », c’est-à-dire un transmetteur de matière ou plus . . . → En lire plus

Appel à communication : 
« Représentations de luttes, luttes de représentations » (Paris, 2017-2018)

Depuis 2014, le séminaire des doctorants de l’équipe Images, Sociétés, Représentations (ISOR) du Centre de Recherche en Histoire du XIXᵉ siècle (CRH – Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) se réunit une fois par mois pendant le deuxième semestre universitaire pour encourager les échanges entre jeunes chercheurs travaillant sur des sources audiovisuelles.

Ce séminaire permet de tisser des liens entre jeunes chercheurs à des stades variés de leur recherche (master, début ou fin de thèse) et venant d’universités françaises ou étrangères – Doct’ISOR a ainsi pu accueillir des doctorants de Paris 1, Paris IV, Sciences Po, l’INALCO, Lyon 2 ou encore de l’Université de Genève.

Pour la première fois . . . → En lire plus

Journée d’études « L’émergence de l’art vidéo en Europe : historiographie, théorie, sources et archives » (Paris, 25 et 26 mai 2016)

Alors que l’historiographie de l’art vidéo reste encore en grande partie centrée sur les Etats-Unis, ces journées visent à mettre en lumière l’étude des conditions d’émergence et de diffusion de l’art vidéo en Europe dans la période des années 1970 et 1980. Les thèmes abordés concerneront : l’apprentissage de la vidéo légère et le rôle des écoles d’art; l’accès au matériel vidéo; les premières expositions; les studios de création collectifs; les festivals; la construction d’un discours critique et théorique. Réunissant des historiens de l’art, des directeurs de fonds d’archives et des conservateurs, cette manifestation s’attachera également à la question des ressources disponibles pour les chercheurs avec une attention particulière portée au cas des pays de l’Europe de l’Est.

En partenariat avec la . . . → En lire plus

Journée d’études : « Eighties incomprises. Art et société dans les années 1980 » (Paris, 11 mai 2016)

Eighties incomprises. Art et société dans les années 1980Longtemps mal aimé et mal compris, l’art des années 1980 fait depuis peu l’objet de relectures historiographiques. La décennie 1980 tend en effet à être perçue comme un moment hédoniste et « léger », succédant au « moment théorique » des années 1960-1970. Or, l’inflexion récente des méthodes de l’histoire de l’art en direction des cultural studies permet de réévaluer la décennie 1980, marquée certes par un certain désenchantement politique, mais aussi par de nouvelles formes de réinvestissement social de l’art.

Dans la décennie du « grand tout culturel » se pose la question du lien entre l’art et les industries de l’image (publicité, . . . → En lire plus

Appel à publication : « Medium/Post-medium oscillations in contemporary art », ARTis ON (Lisbonne, 2016)

Janet Biggs, Installation view, 2003, Vantaa Art Museum, HelsinkiThe new journal online ARTis ON by the ARTIS – Institute of History of Art from the School of Arts and Humanities of the University of Lisbon is organizing a new issue dedicated to the question Medium/Post-medium oscillations in contemporary art.

After conceptual art, installation, video, or more recently with the aggregative structure of the contemporary installation, we are broadly facing an intermedia recurrence in the contemporary artistic practices. As David Joselit puts it, in is article On Aggregators, “in each sense an aggregate selects and configures relatively autonomous elements”. Independently of these elements can be characterized as fixed typologies or . . . → En lire plus

Appel à communication : « L’œuvre dans l’actualité de sa lecture » (Montréal, 8-9 septembre 2016)

Ekaterina Panikanova, Installation de livres peintsDevant la remise en question actuelle de la littérature et des études littéraires, notamment par les tenants de la productivité et de l’efficacité des disciplines universitaires professionnalisantes, certains, dont Jean-Marie Schaeffer et Vincent Jouve, s’engagent à repenser la pertinence du littéraire. Dans leur sillage, et afin de défendre l’importance de la lecture et de l’étude des textes anciens, Yves Citton, dans Lire, interpréter, actualiser (2007), reprend l’argument pragmatiste selon lequel l’activité esthétique de la lecture dégage une puissance de transformation éthique et politique. Contre l’historicisme littéraire institutionnalisé, il appelle à une lecture actualisante de ces textes, visant à exploiter les différences entre l’actualité de la . . . → En lire plus

Séminaire : « Temps et politique de l’image »

img_SEM_ecrans-exposes_fev20157e séance du séminaire « Écrans exposés. Cinéma, Art contemporain, Médias »

Séminaire organisé par Riccardo Venturi (pensionnaire, INHA) et Géraldine Sfez (maître de Conférences en Études Cinématographiques, Lille 3)

Eric de Bruyn (Université de Leiden) : Time Lapse, or the Interrupted Movement of Capital

Cette intervention portera sur une série de films d’essai récemment réalisés par l’artiste américain Zachary Formwalt et tournés dans trois places boursières à la suite de la crise financière de 2007 : le Royal Exchange de Londres, la Bourse d’Amsterdam et la Bourse de Shenzen, dessinée par Rem Koolhaas en 2006. Cette série des « Three Exchanges » met l’accent sur un . . . → En lire plus

Journée d’études : « Images en mouvement : enjeux d’exposition et de perception » (Montpellier, 19 mars 2015)

Vidéo Vintage" (Centre Pompidou, 2012)Cette journée d’étude se propose d’apporter des éclairages sur la pragmatique de l’exposition des images dites « en mouvement » (œuvres filmiques et œuvres vidéo). Il s’agit plus particulièrement de présenter des études de cas d’expositions ou de dispositifs d’installation historiques et actuelles engageant une réflexion sur les données techniques (accrochage, image et son) et sur les choix muséographiques inhérents aux commissaires et/ou aux artistes. À travers trois axes d’analyse, cette journée se donne pour objectif de questionner l’espace d’exposition, les rapports perceptifs entre les spectateurs et les œuvres, interroger la nature des supports de diffusion et de projection tout en insistant sur les artistes qui . . . → En lire plus

Séminaire : « Once more with feeling: Performing the self in the work of Gillian Wearing, Kutluğ Ataman and Phil Collins » (Paris, 14 janvier 2015)

Phil Collins, installation view of 'el mundo no escuchará/the world won't listen', 2004, Courtesy of the artist.

Phil Collins, installation view of ‘el mundo no escuchará/the world won’t listen’, 2004, Courtesy of the artist.

Séance du séminaire Écrans exposés. Cinéma, art contemporain, médias, par Catherine Fowler

14 janvier 2015 – 18h-20h Galerie Colbert Salle Nicolas-Claude Fabri de Peiresc Institut national d’histoire de l’art entrée libre

Accès : 6 rue des Petits-Champs ou 2, rue Vivienne 75002 Paris

The sight of ordinary people performing is commonplace on the internet, television and social media. So what can we make of contemporary artworks . . . → En lire plus

Journées d’études : « Du studio au plateau de télévision : appropriations, détournements et réinterprétations par les artistes » (Paris, 28-29 juin 2013)

L’art vidéo puise son origine directement de la télévision. Un des premiers artistes à travailler avec la technologie vidéo, Nam June Paik, disait que celle-ci était la fille de la télévision. Les artistes s’en sont d’abord pris au téléviseur lui-même avant de voir en la vidéo un nouveau medium à expérimenter. Les liens qu’entretiennent les artistes avec la télévision n’ont cessé de se développer depuis les années 1960.

Les chaînes de télévision ont ouvert très tôt leurs studios aux artistes en voyant en eux une nouvelle force créatrice pour leur programmation. Ces artistes bénéficiaient alors de la régie de la chaîne, disposant de moyens techniques qu’ils ne . . . → En lire plus