« La littérature est le fragment de tous les fragments » disait Goethe, qui reconnaissait que ses œuvres étaient des « fragments d’une grande confession ». Alors que l’on cherche communément à établir des connexions et à bâtir des ponts – à créer et à renforcer ducontinuum –, travailler sur le fragment permettrait d’appréhender la littérature, les arts et la culture par l’irruption d’un autre dans le même, rupture, discontinu, fragmentation.
Voici ce que propose le colloque organisé en mars 2014 à l’Université de Haute-Alsace : s’attaquer aux fractures, à ce qui est brisé, incomplet. Délaisser les revendications d’une esthétique « classique » de la cohérence et de la . . . → En lire plus