« Athènes ancienne vs moderne » conférence de Panayotis Tournikiotis, lundi 9 mai 2022 à 18H30, ENSA Paris Val de Seine

« Athènes ancienne vs moderne » conférence de Panayotis Tournikiotis, lundi 9 mai 2022 à 18H30, ENSA Paris Val de Seine

Architecte, historien de l’architecture et doyen de l’Ecole d’architecture polytechnique d’Athènes, Panayotis Tournikiotis, évoquera Athènes, cité antique et capitale européenne, une ville à la fois moderne, ouverte au futur, et pleine de contradictions vivaces qui font sa dialectique architecturale et urbaine.

ENSA Paris Val de Seine, amphithéâtre 180

lundi 9 mai 2022 18H30

Athènes ancienne vs moderne_Panayotis Tournikiotis

 

 

 

Appel à articles : « Recontructions, processus, matérialités, imaginaires », numéro 6 de la revue transversale [histoire : architecture, paysage, urbain]

Appel à articles : « Recontructions, processus, matérialités, imaginaires », numéro 6 de la revue transversale [histoire : architecture, paysage, urbain]

Dans ses Mémoires d’un touriste, Stendhal fustige en 1837 la restauration des arènes de Nîmes : « C’est surtout dans les arènes qu’éclate le faux jugement des architectes de Nîmes. Au lieu de se borner à consolider les parties qui menaçaient ruine, on les a refaites entièrement ; c’est une reconstruction et non une réparation On a eu la même barbarie à Rome pour le charmant arc de Titus ».

Certes, c’est la reconstruction physique des architectures anciennes qui est évoquée ici et non le processus urbain de reconstruction. Certes pour Stendhal, la ville reste le réglage d’un atomisme, une addition cumulative d’objets différenciés par leur âge et que . . . → En lire plus

Appel à articles : “L’architecture et la lettre : dits et récits d’espaces” – Numéro 5 de la revue transversale [histoire : architecture, paysage, urbain]

Appel à articles : “L’architecture et la lettre : dits et récits d’espaces” – Numéro 5 de la revue transversale [histoire : architecture, paysage, urbain]

De quoi parlent-ils lorsqu’ils parlent d’architecture ? Poètes, écrivains, cinéastes, architectes, urbanistes et paysagistes ? Sans doute leur commun est-il l’orchestration de l’espace, et ainsi, “puisque ces mystères nous dépassent, feignons d’en être l’organisateur1”. Mais inscrire l’espace dans un récit, c’est déjà l’attacher à des temporalités et l’on sait, comme l’écrit Ricoeur, que : “l’architecture serait à l’espace ce que le récit est au temps, à . . . → En lire plus

Colloque Conjuguer la modernité : Autour des architectes Marcel Lods, Michel Roux-Spitz, Jean Walter

Colloque Conjuguer la modernité : Autour des architectes Marcel Lods, Michel Roux-Spitz, Jean Walter 21 et 22 mars 2019 / ENSA Normandie

La modernité est appréhendée le plus souvent à l’ère industrielle comme un enjeu en soi ou comme catalyseur d’inventions (nouveaux objets, procédés/systèmes d’exploitation ou d’organisation). Facteur principal d’innovation, elle tend à se constituer progressivement comme valeur « expérimentale » ou patrimoniale, inhérente à un grand nombre de réalisations. Pour aborder cette mutation, le colloque propose d’explorer différentes visions et écritures de la modernité architecturale et urbaine autour des productions de trois architectes – Marcel Lods (1891-1978), Michel Roux-Spitz (1888-1957), Jean Walter . . . → En lire plus

Prolongation de l’appel à communication : « Conjuguer la modernité. Autour des architectes Marcel Lods, Michel Roux-Spitz, Jean Walter » (30 novembre 2018)

Colloque : « Conjuguer la modernité. Autour des architectes Marcel Lods, Michel Roux-Spitz, Jean Walter ». Prolongation de l’appel à communication au 30 novembre 2018

La modernité comme avènement de la raison instrumentale en architecture pose la question du rapport aux sciences, techniques et humanités tel qu’il a été historiquement construit ou activement recouvré, et tel qu’il acquiert une valeur au travers des discours, conceptions et réalisations des architectes à l’époque contemporaine. Appréhendé le plus souvent à l’ère industrielle comme un enjeu en soi ou comme catalyseur d’inventions (nouveaux objets, procédés/systèmes d’exploitation ou d’organisation) ce rapport interroge dans sa propension à se mouvoir en facteur principal d’innovation et à se constituer . . . → En lire plus

Colloque : « Les années 1968 et la formation des architectes. Perspectives internationales » (15-16 mai 2018, Paris)

Colloque : « Les années 1968 et la formation des architectes. Perspectives internationales » (Paris, mardi 15 mai 2018 – mercredi 16 mai 2018)

Cité de l’architecture, Auditorium / ENSA Paris-Malaquais, Amphi 2 des Loges

En France, dans le champ de l’enseignement de l’architecture, Mai 68 constitue un point d’orgue mais s’inscrit dans une perspective plus large tant du point de vue temporel (de l’après-guerre aux années 1970) que géographique. Les confrontations internationales ne manquent pas : les architectes voyagent, les livres et les idées circulent et l’enseignement de l’architecture est largement débattu. Le congrès de l’Union internationale des architectes en . . . → En lire plus

Appel à communication : « Conjuger la modernité. Autour des architectes Marcel Lods, Michel Roux-Spitz, Jean Watter » (ENSA Normandie, Rouen, 21-22 novembre 2018)

Appel à communication : « Conjuger la modernité. Autour des architectes Marcel Lods, Michel Roux-Spitz, Jean Watter » (ENSA Normandie, Rouen, 21-22 novembre 2018)

La modernité comme avènement de la raison instrumentale en architecture pose la question du rapport aux sciences, techniques et humanités tel qu’il a été historiquement construit ou activement recouvré, et tel qu’il acquiert une valeur au travers des discours, conceptions et réalisations des architectes à l’époque contemporaine. Appréhendé le plus souvent à l’ère industrielle comme un enjeu en soi ou comme catalyseur d’inventions (nouveaux objets, procédés/systèmes d’exploitation ou d’organisation) ce rapport interroge dans sa propension à se mouvoir en facteur principal d’innovation et à se constituer progressivement . . . → En lire plus

Appel à articles : « Migrations et exils des architectes, des urbanistes, des paysagistes à l’ère contemporaine », cahiers de la recherche architecturale, urbaine et paysagère

Appel à articles : Les Cahiers de la recherche architecturale, urbaine et paysagère « Migrations et exils des architectes, des urbanistes, des paysagistes à l’ère contemporaine »

[english below]

À l’échelle des grands bouleversements tels que ceux connus par le monde au XXe siècle, la migration de l’architecte, de l’urbaniste, du ou de la paysagiste peut apparaître comme un épiphénomène. Pourtant, le nombre et la diversité de ces trajectoires révèlent sans aucun doute de riches enseignements à propos de la circulation des idées, des techniques et des savoir-faire à l’ère contemporaine. Qu’ils relèvent de la migration économique, de l’exil politique, de l’exode ou de l’évasion, ces « voyages subis » . . . → En lire plus

Journées d’étude “Architectes cinéastes, cinéastes architectes” (Paris, 7 & 14 octobre 2015 ; Rouen, 15 octobre 2015)

Chatrak, de Vimukthi Jayasundara (2011)

Chatrak, de Vimukthi Jayasundara (2011)

Ces deux journées d’études ont pour but d’aborder deux figures hybrides de la création contemporaine : l’architecte-cinéaste et le cinéaste-architecte. L’influence du cinéma sur la pensée et la création en architecture, l’appréhension et l’intégration du dispositif et de l’écriture cinématographique par l’architecte méritent d’être réévaluées, ainsi que la place de l’architecture dans les pratiques cinématographiques. En quoi ces démarches inventent-elles de nouveaux devenirs pour ces deux disciplines ?

Ces interactions fécondes, inaugurées par les avant-gardes, n’ont pourtant cessé de nourrir la création architecturale et cinématographique. Le recours de certains architectes au langage du cinéma mériterait à ce titre d’être discuté : le scénario, les . . . → En lire plus

Conférence : “Un architecte à la caméra. Le Corbusier 1936-1937” par Claude Prelorenzo (Paris, 23 mai 2013)

Un épisode peu connu de l’activité artistique de Le Corbusier. Deux années durant Le Corbusier, déjà au premier plan sur la scène de l’architecture moderne, va s’enticher d’une caméra 16mm et impressionner quinze bobines, en France, en Suisse et en Amérique du Sud. Les sujets par leur éclectisme (films de famille, de souvenirs, de voyages ?) laissent suspecter un cinéma d’amateur. Mais cette diversité même renforcée par une large palette de modes de filmage conduit à proposer une autre version: celle d’un test, par un pratiquant de la “synthèse des arts”, des possibilités offertes par la réalisation cinématographique. Cette explication ne peut que rester hypothétique car un lourd silence entoure cet épisode. Le Corbusier n’en parlera jamais, ne montrera pas sa production et ne l’utilisera ni dans ses publications ni . . . → En lire plus