Publication et lancements : La Biennale internationale des jeunes artistes. Paris (1959-1985), Elitza Dulguerova (dir.)

En 1959, la première Biennale internationale des jeunes artistes ouvre ses portes au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, rejoignant le cercle alors très restreint des grandes manifestations internationales spécialisées en art contemporain. Son ambition était de renforcer la place de la capitale française sur la scène artistique mondiale. Confrontée à maintes difficultés dès sa fondation, cette institution, dont l’organisation et le fonctionnement ne cessèrent de se transformer en vingt-six années d’existence, a néanmoins réussi à donner à voir l’art en train de se faire, à une époque où la guerre froide et de nombreux régimes dictatoriaux limitaient la circulation des . . . → En lire plus

Séminaire « 1959-1985, au prisme de la Biennale de Paris » : Biennales d’architecture, l’architecture à la Biennale (de Paris) (19 mars 2019, Paris)

 Vue d’exposition de la section Architecture à la Nouvelle Biennale de Paris 1985 à la Grande Halle de la Villette (Paris). © Fonds Biennale de Paris 1959-1985, INHA-Collection Archives de la critique d'art.

Vue d’exposition de la section Architecture à la Nouvelle Biennale de Paris 1985 à la Grande Halle de la Villette (Paris). © Fonds Biennale de Paris 1959-1985, INHA-Collection Archives de la critique d’art.

Au cours des dernières décennies, la remarquable diffusion de ce que l’on appelle . . . → En lire plus

Séminaire – « 1959-1985, au prisme de la Biennale de Paris » : De la non-coïncidence à l’effacement : la présence des artistes africains à Paris (22 janvier 2019, Paris)

Robert César, Biennale de Paris, 1965, vue d'extérieur. (C) Archives de la critique d'art, Rennes

Robert César, Biennale de Paris, 1965, vue d’extérieur. (C) Archives de la critique d’art, Rennes

Si l’on en croit une certaine historiographie, l’art contemporain africain aurait émergé sur le circuit mondial au lendemain de l’exposition Magiciens de la terre (1989), conçue, à l’origine, comme la quatorzième édition de la Biennale de Paris. Or, dès le début des années 1960, des artistes africains, en particulier sénégalais, exposent à la Biennale de Paris, et ce, à plusieurs reprises. Aucun d’entre eux ne sera retenu pour les . . . → En lire plus