Appel à communication : « Palladio et la Rome d’Antonio da Sangallo le Jeune » (Vicenza, 16-18 juin 2016)

Portrait d'Antonio da Sangallo il Giovane, G. Vasari, Les Vite, 1568Le Centro Internazionale di Studi di Architettura Andrea Palladio organise un séminaire international consacré à Palladio e la Roma di Antonio da Sangallo il giovane qui se tiendra du 16 au 18 juin 2016 à Vincenza.

Da la mort de Raphaël en 1520 à sa propre disparition en 1546, Antonio da Sangallo le Jeune domine la scène architecturale romaine, pour ensuite laisser place à la suprématie de Michel-Ange. Pour le jeune Palladio, qui accomplit ses trois premiers voyages à Rome entre l’automne 1541 et juillet 1547, les architectures d’Antonio sont une référence incontournable comme source d’imitation ou de rejet. Il . . . → En lire plus

Rencontres : « Articuler les images, de la carte à la photographie », ARIP (Paris, 26 novembre 2015)

Fishing on the Smoky Hill River South of Dorrance, May 4, 1912, Russell County, Kansas (Plate 323)L’Association de recherche sur l’image photographique (ARIP) reconduit pour la saison 2015-2016 un cycle de rendez­-vous. Ces ateliers mensuelsont un objectif double : ils seront d’une part l’occasion de d​écouvrir des sujets de recherche inédits en étude sur la photographie e​t d’autre part, ils permettront d’aborder et d’e​xplorer des questionnements méthodologiques soulevés par un travail de recherche en photographie,​ et auxquels se trouvent souvent confronté.e.s nombre de (jeunes) chercheur.e.s. dans ce domaine.

Nous vous invitons donc chaleureusement au premier atelier de l’ARIP, le jeudi 26 novembre à 18h30.

. . . → En lire plus

Appel à communication : « Le Dadaïsme et les arts du spectacle » (Cluj-Napoca, Roumanie, mai 2016)

Dada-ParisLe 5 février 1916, Hugo Ball et Emmy Hennings, avec leurs amis peintres Marcel Janco, Hans Arp et les poètes Tristan Tzara et Richard Huelsenbeck, inaugurent le Cabaret Voltaire à Zurich. Implicitement, s’ouvre la scène où s’articulera le nouveau mouvement artistique qui ébranlera les fondations de l’art traditionnel tout en donnant une fabuleuse impulsion créatrice aux tendances modernistes du jeune XXe siècle.

DADA, fruit d’un hasard bien recherché, est dès ses débuts intimement lié au monde du spectacle, à l’improvisation, à la mise en scène ostentatoire de soi et à l’art de choquer les esprits bien posés. N’est-ce pas Monsieur Antipyrine, le personnage principal de la première pièce de théâtre de Tristan . . . → En lire plus

Appel à communication : « Le corps des femmes à la Renaissance » (Paris, janvier-mars 2016)

Bartolomeo Veneto ?, Portrait d'une courtisaneCette session est le fruit d’une co­-organisation entre Cornucopia et la SIEFAR (Société Internationale pour l’Etude des Femmes de l’Ancien Régime). Les séances auront lieu les 9 janvier, 6 février et 12 mars 2016 de 10h à 13h en Sorbonne, salle Paul Hazard

La vitalité des études sur le corps et les représentations qu’il suscite dans l’histoire, l’art et la littérature est particulièrement visible ces dernières années, comme en témoigne la parution des synthèses magistrales que sont l’Histoire du corps et l’Histoire de la virilité[1]. Il n’est pas étonnant par ailleurs que Judith Butler ait intitulé l’un de ses livres majeurs . . . → En lire plus

Journée d’étude : « Hommage à Jean-François Lyotard : Les Immatériaux, Trente ans après » (Paris, 27 novembre 2015)

Immateriaux_14Il y a 30 ans, l’exposition Les Immatériaux, présentée au Centre Pompidou sous la responsabilité du philosophe Jean-François Lyotard et de Thierry Chaput, interrogeait le rôle des nouvelles technologies dans la modernité. Retour en trois parties sur cette expérience pionnière. Cette journée se propose de revenir sur l’exposition « Les Immatériaux », qui n’a rien perdu de son actualité. Réunissant des témoins, des philosophes, des artistes et des historiens d’art, il s’agira de cerner la conjoncture de l’époque, à travers des interventions, des films et des documents rares. Une telle rencontre permettra d’interroger à nouveau le parcours esthétique et philosophique de Jean-François Lyotard et sa relation aux arts. Qu’en est-il aujourd’hui ? La table-ronde finale donnera la parole à des . . . → En lire plus

Colloque : « Le musée par la scène. Le spectacle vivant au musée » (Paris, 18-19-20 novembre 2015)

Le-Musée-par-la-scèneDanse, théâtre musique, performance : quels sont les enjeux esthétiques, stratégiques et pratiques du recours au spectacle vivant au musée, tant du point de vue des publics que de celui de la création ? Ce colloque entend explorer les reconfigurations de l’espace muséal par le surgissement de la scène, ainsi que les fonctions de médiation du geste et du jeu.

Programme

18 novembre 2015

Auditorium du Musée du Louvre

9h30 • Accueil et introduction

Pauline Chevalier, Université de Franche-Comté, Besançon Joseph Danan, Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 Aurélie Mouton Rezzouk, Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3

10h • Enjeux socio économiques de la programmation du spectacle vivant dans les musées . . . → En lire plus

Journée d’étude : « Une rhétorique de l’histoire de l’art ? Pratiques et dispositifs de l’écriture » (Bordeaux, 20 novembre 2015)

rhetorique-HA-150x150Comme toute discipline, l’histoire de l’art communique au travers de formes discursives normalisées. La littérature grise dont les articles et les thèses, les catalogues d’exposition, les essais ou bien encore les ouvrages de vulgarisation scientifique sont censés répondre à des critères de narration implicites (énonciation impersonnelle, emploi du conditionnel, vocabulaire spécialisé…) qui légitiment d’autant mieux l’argumentation de leurs auteurs. Dans sa pratique dite académique, l’écriture apparaît à bien des égards comme le point nodal entre la synthèse des recherches et la diffusion des connaissances. Ainsi, en organisant cette journée d’étude, nous invitons les historiens de l’art à s’interroger sur la nature et la qualité des principes langagiers de leurs propres discours, héritiers d’une discipline qui, en Europe, s’est imposée au . . . → En lire plus

Conférence : « La notion d’ornement biblique »par Robert Suckale (Paris, 29 septembre 2015 )

God_the_GeometerPour inaugurer son thème annuel, « Le Moyen Âge et son image », le Centre allemand d’histoire de l’art est heureux d’accueillir Robert Suckale, professeur émérite à la Technische Universität de Berlin. Robert Suckale est l’auteur d’ouvrages de référence sur l’architecture gothique française et la sculpture architecturale, il constitue l’une des figures majeures de l’histoire de l’art médiéval en Allemagne.

Robert Suckale interrogera la Bible comme source architecturale du Moyen Âge en s’intéressant notamment à la conception de l’ornement et du décor qu’elle véhicule. La notion de décor (ornatus ou ornamentum) est mise en avant dans la Bible à la fin de la Création pour qualifier . . . → En lire plus

Appel à communication : Colloque de la Society for Renaissance Studies / Society for Renaissance Studies 7th Biennial Conference (Glasgow, juillet 2016)

William Scroetes ?,Henry_Howard, Comte de Surrey, vers 1550, Londres, NGPNous sollicitons des propositions de sessions et de communications individuelles de spécialistes de la Renaissance dans les disciplines de l’archéologie, de l’architecture, de l’histoire de l’art, de l’histoire, de l’histoire de la science et de la médecine, de la littérature, de la musique, de la philosophie et d’autres domaines. Les propositions pour les sessions (90 minutes) et les communications individuelles (20 minutes) devront porter sur l’un des thèmes suivants :

Anachronismes Conflits et résolution des conflits Images de la nation Réformes et réfractaires Bêtes/monstres Parole et image

Le colloque comportera également un volet ouvert aux interventions qui traitent d’autres thèmes que . . . → En lire plus

Appel à publication : « Crash, splash, boum », Specimen, n°9, 2016

CRASH (John Crash Matos dit), The first puzzle, 1984Crash, ou la rencontre vive de deux solides qui se retrouvent désorganisés l’un par l’autre : accidents routiers, blessures, chocs sportifs, etc.

Splash, ou un liquide qui vient s’étaler sans calcul sur une surface, ou la surface liquide perturbée par la chute d’un solide malvenu. C’est autant la peinture lancée, le pavé dans la mare, que le train de la fête foraine fonçant dans l’eau.

Boum, ou l’explosion interne, un solide qui se fragmente en tous sens ou un son sourd répété. C’est l’avenir présumé d’un colis qu’on nous annonce suspect autant qu’un son entêtant, . . . → En lire plus

Appel à candidature : Vacataire en culture germanique à l’Université Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines (2015-2016)

UnknownLe département de Lettres de l’Université Versailles-Saint Quentin-en Yvelines (UVSQ) cherche un/e vacataire pour assurer un cours de culture allemande de 2h/semaine (24 heures TD) à des étudiants de Licence Lettres et Histoire (LVI et LV2). Il s’agit de favoriser leur prise de parole dans cette langue et de leur apporter des connaissances sur un thème culturel relativement vaste, dans le cadre de 12 séances de 2 heures (un seul groupe, si possible le jeudi de 13h à 15h, au premier semestre : septembre-décembre 2015). Le candidat doit être bilingue et prêt à s’adapter aux niveaux hétérogènes des étudiants.

Merci d’envoyer votre CV par mail à : Aurélie Barjonet ( . . . → En lire plus

Appel à communication : « Trames arborescentes : confection et croissance de structures textuelles et iconographiques » (Tours, décembre 2016)

Raymond Lulle, Arbre moral, Paris, BNFLe mot « arborescence », du latin arborescere, arborescentem [1] rend compte, par son suffixe « -escent », d’un procédé en cours. Par son radical « arbor », il renvoie également à l’idée d’un réseau formant une image identifiable, l’arbre, à même d’établir des liens cohérents entre un tout et ses parties. L’arborescence apparaît à la fois comme image et structure imagée.

Une telle double lecture permet des emplois didactiques. L’arborescence, comme structure imagée d’une part, implique par sa croissance, le déploiement d’une ligne conductrice, d’un ductus, qui guide la « compositio »[2] c’est-à-dire l’ordonnancement d’une matière textuelle et/ou iconographique. En effet, l’image des racines, du tronc . . . → En lire plus

Le Festival d’histoire de l’art : dynamiser un succès

Le Festival d’histoire de l’art : dynamiser un succès

 

Incontestablement, le festival d’histoire de l’art de Fontainebleau est un succès.

 

Un succès

L’engouement qu’il a suscité tient à trois raisons principales :

Le site du château de Fontainebleau, avec la solennité de son architecture, le charme de ses cours et jardins, la diversité des espaces qu’il peut offrir, se prête particulièrement à une célébration divertissante de l’histoire de l’art. Le festival a su pour l’instant garder un côté festif : par la surabondance gentiment brouillonne des manifestations qu’il propose, par le mélange des genres, entre cinéma, salon du livre, et conférence sérieuse en langue étrangère, par la multiplicité en l’année 2015, des buvettes. Cet aspect ludique, ressenti à la fois par les visiteurs en famille et les . . . → En lire plus

Colloque : « Les représentations du Livre aux époques carolingienne et ottonienne (Paris, 15-17 octobre 2015)

5670a65faa518e2d51d0e3fab7cd13bb Les représentations du livre aux époques carolingienne et ottonienne

Colloque international, 15-17 octobre 2015, INHA et Sorbonne (Paris)

 

Le livre prend, avec la renaissance culturelle carolingienne, une place majeure dans la société du IXe siècle qui perdure dans le monde ottonien. Sa production est suffisamment abondante pour que près de 8000 manuscrits de cette époque nous soient parvenus, et le soin apporté à la qualité de leur confection est remarquable. Les manuscrits, précieux ou non, corrigés, glosés, comparés, échangés, servent à l’action, politique ou judiciaire, à la spiritualité, à la réforme religieuse, au développement de l’ »humanisme » carolingien. Dans la société et la culture chrétiennes, l’objet-livre revêt un caractère précieux et somptuaire, comme en témoignent sa place . . . → En lire plus

Appel à publication : « Les monuments de la Grande Guerre / I monumenti della Grande Guerra » (Revue Elephant & Castle, 12)

 

Elephant & Castle

À l’occasion du centenaire du premier conflit mondial (1914-1918) le n°12 de Elephant & Castle sera consacré aux monuments de la Grande Guerre. Ce conflit majeur fut pour les pays concernés beaucoup plus tragique que prévu et suscita un nombre impressionnant de commémorations diverses ; ainsi, déjà avant 1918, toutes les nations le célébrèrent selon les formes et les modalités qui leur étaient propres. En Italie, où la guerre fut le premier évènement fédérateur pour la collectivité nationale, les premiers monuments ont été élevés sur le front, là où les soldats ont combattu de manière héroïque. L’Italie a voulu commémorer . . . → En lire plus

Appel à publication : « Représentation artistiques et sociales de la pauvreté / Artistic and social Representations of Poverty »

Alfred de Curzon, Une Mère pauvre, Une mère pauvre ou Dans la rue, 1867Jusqu’au XVIIe siècle, le thème de la pauvreté dans les arts et en littérature est dominé par un modèle évangélique. Par la suite, avec l’affirmation d’un art “réaliste” le regard des artistes abandonne progressivement la dimension allégorique (comme par exemple dans la scène du pauvre dans Dom Juan de Molière) pour dénoncer et s’opposer au progrès industriel et aux modèles de société et de ville associés. La pauvreté constitue un scandale de la raison, l’esclavage niant de fait l’idée même d’égalité. La pauvreté n’est plus prise en considération en soi, mais en opposition à la richesse, . . . → En lire plus

Journée d’études : « Le texte dans l’image » (Poitiers, 21 mai 2015)

Toulouse-Lautrec_Elles_1896_1000 Journée d’études organisée par le laboratoire CRIHAM, dans le cadre de l’axe thématique Humanités, Culture, Patrimoine de la Maison des Sciences de l’Homme et de la Société de Poitiers, sous la coordination de Véronique Meyer, avec la participation de Solange Vernois.

 

▪ Jeudi 21 mai 2015 – 10h30 / 16h30 ▪ Poitiers, Faculté des Sciences humaines et arts, salle des Actes Hôtel Fumé – 8 rue René-Descartes – Bât. E15 ▪ Ouvert à tous – Entrée libre ▪ Renseignements : http://criham.labo.univ-poitiers.fr/actualites/journee-detudes-le-texte-dans-limage/ Catherine Mâle : catherine.male@univ-poitiers.fr

Programme

▪ 10h 30 – Vanessa Selbach, Bibliothèque Nationale, département des estampes Vox Dei : la parole divine et le dialogue avec le croyant dans la lettre de l’estampe . . . → En lire plus

Appel à communication : « Le musée par la scène. Le spectacle vivant au musée » (Paris, novembre 2015)

Musée-par-la-scène-e1429278384473Nous nous proposons d’interroger la place, les pratiques et les finalités du spectacle vivant au musée, dans leur articulation avec des pratiques de médiation, et envisagées sous l’angle d’une problématique de la réception. Danse, théâtre, musique, arts de la marion- nette, du cirque, du conte, performance ; créations originales, (re)mises en espaces, accueil, invitations et reprises, visites guidées théâtralisées, chorégraphiées ou interdisciplinaires : quels sont les enjeux esthétiques de ces pratiques scéniques, de ce « recours au vivant » dans l’espace muséal, tant du point de vue des publics que de celui de la création ?

Frottements, contaminations, partages et oppositions, devenirs et lignes de fuite : nous tâcherons de penser la . . . → En lire plus

Appel à communication : « Trames arborescentes, confection et croissance de structures textuelles et iconographiques » (Pau, juin 2015)

Raymond Lulle, Arbor scientiae, 1295Le mot « arborescence », du latin arborescere, arborescentem [1] rend compte, par son suffixe « -escent », d’un procédé en cours. Par son radical « arbor », il renvoie également à l’idée d’un réseau formant une image identifiable, l’arbre, à même d’établir des liens cohérents entre un tout et ses parties. L’arborescence apparaît à la fois comme image et structure imagée.

Une telle double lecture permet des emplois didactiques. L’arborescence, comme structure imagée d’une part implique par sa croissance, le déploiement d’une ligne conductrice, d’un ductus, qui guide la « compositio »[2] c’est-à-dire l’ordonnancement d’une matière textuelle et/ou iconographique. En effet, . . . → En lire plus

Journée d’études : « Mémoire sculptée de la guerre : une modernité possible ? » (Rouen, 5 juin 2015)

Constantin Brancusi, La Colonne sans fin,1938, Tirgu Jiu, RoumaniePeut-on regarder le monument aux morts comme une création originale ? En 1926 dans son Bilan des arts modernes en France, Amédée Ozenfant décrit les monuments aux morts de la Grande Guerre comme l’expression de l’anti-modernité, voire de l’anti-modernisme : « depuis la « Victoire » des milliers d’occasions pures ont été données : monuments votifs aux soldats tombés, Verdun. Et qu’a-t-on fait ? Des choses lyriques, oui, mais de quel lyrisme ? misère ! A décharge des « modernes » : on ne s’est pas adressé à eux ». Les modernes ne sont pas responsables de la laideur et de la statuomanie commémorative, . . . → En lire plus